jeudi 16 février 2012

LA VIE




Telle une mégère
Non apprivoisée
La Vie se charge
De dispenser
Ses joies ses peines
Sans se soucier
Si la balance
Est bien équilibrée
Elle joue à l’enfant
Dans la cour de récré
Sur un pied la marelle
Faut l’apprivoiser
Aurais-je droit au ciel ?
Où vais-je tordre mon pied ?
Am stram gram
Pique pique….zut
Trop de piques
Vive les gammes
Celles qui comme
Une mère adoucissent
Cette vie en se
Changeant en notes
Triple croche que
Je suis…..C’est ainsi
Je retourne à mon enfance
Dans une cour de récré
La Vie comme la marelle
Faut se battre pour la
GAGNER…

Maria Concetta Bisogno  2007…

1 commentaire:

  1. J'ai un gros coup de gueule à donner, j'hurle en écrivant, que les sois disant mères,qui prennent la vie de petits êtres sans défense, soient maudites pour l'éternité,plein de parents pleurent leurs petits, enlevés à leur amour par la maladie, ou ce qui a été dernièrement le cas par accident,
    et des monstres, je pèse mes mots,tuent comme cela, parce que ça gêne, une vie qui n'a pas demandé à naître chez des assassins, JE VOUS HAIS...OU EST LA JUSTICE dans tout ça????????

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