Telle une
mégère
Non
apprivoisée
La Vie se
charge
De
dispenser
Ses joies
ses peines
Sans se
soucier
Si la
balance
Est bien
équilibrée
Elle joue à
l’enfant
Dans la
cour de récré
Sur un pied
la marelle
Faut
l’apprivoiser
Aurais-je
droit au ciel ?
Où vais-je
tordre mon pied ?
Am stram gram
Pique pique….zut
Trop de piques
Vive les gammes
Celles qui comme
Une mère adoucissent
Cette vie en se
Changeant en notes
Triple croche que
Je suis…..C’est ainsi
Je retourne à mon enfance
Dans une cour de récré
La Vie comme la marelle
Faut se battre pour la
GAGNER…
Maria Concetta Bisogno
2007…
J'ai un gros coup de gueule à donner, j'hurle en écrivant, que les sois disant mères,qui prennent la vie de petits êtres sans défense, soient maudites pour l'éternité,plein de parents pleurent leurs petits, enlevés à leur amour par la maladie, ou ce qui a été dernièrement le cas par accident,
RépondreSupprimeret des monstres, je pèse mes mots,tuent comme cela, parce que ça gêne, une vie qui n'a pas demandé à naître chez des assassins, JE VOUS HAIS...OU EST LA JUSTICE dans tout ça????????